Bizarre ! Je ne vois que du rouge
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Bizarre ! Je ne vois que du rouge
Bizarre ! Je ne vois que du rouge
Bizarre ! Je ne vois que du rouge,
Ils veulent que rien ne bouge,
Dans des écriteaux ils affichent,
De la création on s’en fiche,
Voulant gérer l’air qu’on respire,
Ils bornent les mots qu’on inspire
Par des slogans de la haine,
Ils gênent une source pérenne
De diffuser la fraicheur
Sur un printemps resté sans fleur.
Bizarre ! Dans la voix je décèle
La soif d’une destinée meurtrière
En manque d’égard, elle excelle
Dans la préparation des taupières,
Elle déclenche l’étincelle
Par des prétendues barrières,
Qu’elle érige sans référentiel,
Pour faire exploser la poudrière
Elle démarre son crécelle
Et place les idées dans la fourrière.
Je rejette ce pouvoir infect,
La création refuse les interdits,
Libre que je suis, je n’accepte
Pas les continuelles facéties,
J’intègre un monde qui respecte
L’invention et n’a pas d’appétit
Pour les provocations suspectes,
Je déteste l’utilisation de la goétie,
Pour taire un éclat, on éructe
Sans cesse d’un gouffre le bruit,
Qui justifie la noirceur des actes.
Dad Allaoua
Bizarre ! Je ne vois que du rouge,
Ils veulent que rien ne bouge,
Dans des écriteaux ils affichent,
De la création on s’en fiche,
Voulant gérer l’air qu’on respire,
Ils bornent les mots qu’on inspire
Par des slogans de la haine,
Ils gênent une source pérenne
De diffuser la fraicheur
Sur un printemps resté sans fleur.
Bizarre ! Dans la voix je décèle
La soif d’une destinée meurtrière
En manque d’égard, elle excelle
Dans la préparation des taupières,
Elle déclenche l’étincelle
Par des prétendues barrières,
Qu’elle érige sans référentiel,
Pour faire exploser la poudrière
Elle démarre son crécelle
Et place les idées dans la fourrière.
Je rejette ce pouvoir infect,
La création refuse les interdits,
Libre que je suis, je n’accepte
Pas les continuelles facéties,
J’intègre un monde qui respecte
L’invention et n’a pas d’appétit
Pour les provocations suspectes,
Je déteste l’utilisation de la goétie,
Pour taire un éclat, on éructe
Sans cesse d’un gouffre le bruit,
Qui justifie la noirceur des actes.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3651
Date d'inscription : 30/03/2010
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