Je sens les prémices d’apostasie
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Je sens les prémices d’apostasie
Je sens les prémices d’apostasie
Dans les agissements saugrenus
Qu’on témoigne et la froideur
Acerbe cernant les âmes perdues,
Dans l’ombre abjecte de la férocité,
On sent les prémices d’apostasie
Dans les paroles, la méchanceté
Dévoile l’abjection de la frénésie
Qui nous guide droit vers la bestialité
Sans Laisser les étincelles allumer
Le feu pour saisir l’odeur du brasier
Qui enflamme nos âmes désarmées
Par les accélérations du sablier.
On essaye d’imaginer l’au-delà
Et dévoiler les intrigues que le sort
Trame, on se retrouve face au cobra
Qui reflète dans ses yeux la mort,
On cherche la douceur humaine,
Sans les malheurs qui font saigner
Et pleurer la lune, qui nous mène
Vivre et détruire la toile d’araignée,
Qui garde le bien prisonnier par
Les Mauvais Anges anathèmes du ciel,
Chancres des cœurs et dards
Traversant nos âmes par le fiel
Sur les flots successifs des bobards.
On aime, flairer l’odeur que le vent
Apporte, déterrer les traquenards
Et éviter aux rossignols innocents
D’être poursuivis par le flambeau
Des chaumes brulés sur la terre
Philosophale, où on souille le beau,
On infeste le pur et on fait taire
Les oiseaux dans les airs, sans trop
Penser aux maux de la jeunesse
Malade qui s’enivre du sirop
D’érable et se nourrit du lait d’ânesse.
Sans être l‘objet de la perversion,
On tend la main et on ferme les yeux
Sans chercher à connaître la raison
Qui console nos cœurs généreux,
Ou fait fuir l’orage qui cerne l’âge
Dans l’ombre de nos incertitudes
Et roule dans la boue noire l’image
Reflétée sur l’eau calme et limpide
De la nappe où se meuvent nos esprits.
Nous nous sentons souvent victimes
Et bourreaux sans entendre nos cris.
Nous sommes entrain de voir les crimes
Du sort se défiler dans le miroir,
Loin de fuir nos propres blasphèmes
Ou de renier notre propre histoire
Mais la félonie n’est pas le système
Qui actionne nos comportements,
Au contraire ! Elle fige nos langues,
Paralyse nos mains pour longtemps,
Et cause dans nos êtres un big-bang
Puissant qui éponge à notre ciel
Les étoiles, disperse de nos jardins
L’eau fraîche, chasse le soleil
De l’univers et noircit nos chemins.
Dad Allaoua
Dans les agissements saugrenus
Qu’on témoigne et la froideur
Acerbe cernant les âmes perdues,
Dans l’ombre abjecte de la férocité,
On sent les prémices d’apostasie
Dans les paroles, la méchanceté
Dévoile l’abjection de la frénésie
Qui nous guide droit vers la bestialité
Sans Laisser les étincelles allumer
Le feu pour saisir l’odeur du brasier
Qui enflamme nos âmes désarmées
Par les accélérations du sablier.
On essaye d’imaginer l’au-delà
Et dévoiler les intrigues que le sort
Trame, on se retrouve face au cobra
Qui reflète dans ses yeux la mort,
On cherche la douceur humaine,
Sans les malheurs qui font saigner
Et pleurer la lune, qui nous mène
Vivre et détruire la toile d’araignée,
Qui garde le bien prisonnier par
Les Mauvais Anges anathèmes du ciel,
Chancres des cœurs et dards
Traversant nos âmes par le fiel
Sur les flots successifs des bobards.
On aime, flairer l’odeur que le vent
Apporte, déterrer les traquenards
Et éviter aux rossignols innocents
D’être poursuivis par le flambeau
Des chaumes brulés sur la terre
Philosophale, où on souille le beau,
On infeste le pur et on fait taire
Les oiseaux dans les airs, sans trop
Penser aux maux de la jeunesse
Malade qui s’enivre du sirop
D’érable et se nourrit du lait d’ânesse.
Sans être l‘objet de la perversion,
On tend la main et on ferme les yeux
Sans chercher à connaître la raison
Qui console nos cœurs généreux,
Ou fait fuir l’orage qui cerne l’âge
Dans l’ombre de nos incertitudes
Et roule dans la boue noire l’image
Reflétée sur l’eau calme et limpide
De la nappe où se meuvent nos esprits.
Nous nous sentons souvent victimes
Et bourreaux sans entendre nos cris.
Nous sommes entrain de voir les crimes
Du sort se défiler dans le miroir,
Loin de fuir nos propres blasphèmes
Ou de renier notre propre histoire
Mais la félonie n’est pas le système
Qui actionne nos comportements,
Au contraire ! Elle fige nos langues,
Paralyse nos mains pour longtemps,
Et cause dans nos êtres un big-bang
Puissant qui éponge à notre ciel
Les étoiles, disperse de nos jardins
L’eau fraîche, chasse le soleil
De l’univers et noircit nos chemins.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3651
Date d'inscription : 30/03/2010
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