Je suis venu chez toi sourd et muet
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Je suis venu chez toi sourd et muet
Je suis venu chez toi sourd et muet
Je me laisse entrainer par la mer
Vers ton rivage, pour t’implorer
De laisser s’écouler dans le cœur
Une ravine de prière et espérer
Voir bientôt sur ton visage l’éclat
D’or d’un sourire chaste banni
Par une tourmente, car au delà
De l’amour, j’observe sans bruit
La roue de la vie qui nous mène
Sous le regard vaillant du sablier
Vers la mort lente et certaine.
Je t’en prie princesse d’oublier
Que nous sommes des humains,
Ensemble nous sommes des anges,
Dans nos oreilles le chahut malsain
Se substitue en chant de mésange.
Je suis venu chez toi sourd et muet
Chercher la lumière qui me guide
Et la chaleur douce dissipant la buée
Qui empêche bien l’aurore splendide
De faire pénétrer ta royale splendeur
Par la fenêtre laissée ouverte, pour
Contempler dans ton jardin les fleurs
Soignant ma patience et fusant autour
De mon demeure l’odeur lénifiante,
Pour m’apaiser, guider ma conscience
Et bien consoler mon âme errante
En chassant les traces de l’impatience
D’un esprit troublé par des souvenirs
Que nous avions construit ensemble
Sans laisser suffisamment murir
L’amour dans nos cœurs insatiables.
Je suis venu t’offrir ma vie en silence,
Te bâtir un château par la tendresse
Et trouver en ton esprit l’indulgence
Souveraine qui chassera ma tristesse.
Dad Allaoua
Je me laisse entrainer par la mer
Vers ton rivage, pour t’implorer
De laisser s’écouler dans le cœur
Une ravine de prière et espérer
Voir bientôt sur ton visage l’éclat
D’or d’un sourire chaste banni
Par une tourmente, car au delà
De l’amour, j’observe sans bruit
La roue de la vie qui nous mène
Sous le regard vaillant du sablier
Vers la mort lente et certaine.
Je t’en prie princesse d’oublier
Que nous sommes des humains,
Ensemble nous sommes des anges,
Dans nos oreilles le chahut malsain
Se substitue en chant de mésange.
Je suis venu chez toi sourd et muet
Chercher la lumière qui me guide
Et la chaleur douce dissipant la buée
Qui empêche bien l’aurore splendide
De faire pénétrer ta royale splendeur
Par la fenêtre laissée ouverte, pour
Contempler dans ton jardin les fleurs
Soignant ma patience et fusant autour
De mon demeure l’odeur lénifiante,
Pour m’apaiser, guider ma conscience
Et bien consoler mon âme errante
En chassant les traces de l’impatience
D’un esprit troublé par des souvenirs
Que nous avions construit ensemble
Sans laisser suffisamment murir
L’amour dans nos cœurs insatiables.
Je suis venu t’offrir ma vie en silence,
Te bâtir un château par la tendresse
Et trouver en ton esprit l’indulgence
Souveraine qui chassera ma tristesse.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3651
Date d'inscription : 30/03/2010
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