Je savais bien depuis longtemps
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Je savais bien depuis longtemps
Je savais bien depuis longtemps
Je savais bien depuis longtemps,
Que tes paroles étaient mensongères,
Tes sourires pâles étaient médisants,
Ta conduite lunatique était étrangère
À un cœur qui vivait sans querelles.
Dommage ! Ô ma chère Cristelle !
De l’éclaircie que laissent les nuages
Sur un ciel sombre se dégage
Les prémices d’une forte tempête,
Que ton âme triste et indolente
Ne puisse pas supporter ou espérer,
Quand je t’ai entendu pérorer
J’ai vite compris ton allure lente
Et la haine que porte ton regard
Profond, qui cherchait un morbide
Attrait où l’essaim des bobards
Se formait bien par les mensonges
Sous l’ovation d’une malice infeste
Et des équivoques louanges
Que tu reçoives souvent sans mérites.
Je savais, mais j’ignorais cet art
Qui rendait les langues trop perfides,
Je les voyais sur ton front blafard
Mais je ne saisissais pas cet avide
Esprit, qui t’incitait à mentir souvent,
Pour troubler mon âme souveraine
Et espérer voir sans cesse le vent
Mener tes fables aux oasis lointaines.
Sache ! Ton fruit sans succulence
Ne pourra pas apporter de la joie,
Son arbre secoué par les tempêtes
Et taillé par des venimeuses serpettes
Ne lui procura pas la bonne sève,
Qui le rendra délicieux et juteux.
Je pars définitivement sans essayer
De décrire encore ce maudit glaive
Que tu tiennes dans ta main rouge,
En n’espérant que ta vase funèbre
Sera vider du venin et de ta bauge
Tu sauras un jour chasser l’ombre,
Pour vivre sous la lumière et croire
Définitivement que les contrevérités
Dévoilent l’incapacité de te voir
S’épanouir avec amour et sincérité.
Dad Allaoua
Je savais bien depuis longtemps,
Que tes paroles étaient mensongères,
Tes sourires pâles étaient médisants,
Ta conduite lunatique était étrangère
À un cœur qui vivait sans querelles.
Dommage ! Ô ma chère Cristelle !
De l’éclaircie que laissent les nuages
Sur un ciel sombre se dégage
Les prémices d’une forte tempête,
Que ton âme triste et indolente
Ne puisse pas supporter ou espérer,
Quand je t’ai entendu pérorer
J’ai vite compris ton allure lente
Et la haine que porte ton regard
Profond, qui cherchait un morbide
Attrait où l’essaim des bobards
Se formait bien par les mensonges
Sous l’ovation d’une malice infeste
Et des équivoques louanges
Que tu reçoives souvent sans mérites.
Je savais, mais j’ignorais cet art
Qui rendait les langues trop perfides,
Je les voyais sur ton front blafard
Mais je ne saisissais pas cet avide
Esprit, qui t’incitait à mentir souvent,
Pour troubler mon âme souveraine
Et espérer voir sans cesse le vent
Mener tes fables aux oasis lointaines.
Sache ! Ton fruit sans succulence
Ne pourra pas apporter de la joie,
Son arbre secoué par les tempêtes
Et taillé par des venimeuses serpettes
Ne lui procura pas la bonne sève,
Qui le rendra délicieux et juteux.
Je pars définitivement sans essayer
De décrire encore ce maudit glaive
Que tu tiennes dans ta main rouge,
En n’espérant que ta vase funèbre
Sera vider du venin et de ta bauge
Tu sauras un jour chasser l’ombre,
Pour vivre sous la lumière et croire
Définitivement que les contrevérités
Dévoilent l’incapacité de te voir
S’épanouir avec amour et sincérité.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3651
Date d'inscription : 30/03/2010
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