Adieu adorable mère !
Page 1 sur 1
Adieu adorable mère !
Adieu adorable mère !
Quand j’ai vu ton dernier souffle sortir,
J’ai su, que ta volonté venait de fléchir,
Ton âme rejoindra le royaume des morts,
En acceptant amèrement le dernier sort.
Combien il était cher ce dernier soupir
Qui avait jaillit de toi avant de mourir,
Ta fraîche haleine m’avait insufflé la vie
Dans l’ombre impénétrable de la nuit.
Lorsque je t’avais vu fermé les paupières,
Déjà, les gens préparaient la civière,
J’avais saisi, celle qui m’avait fait naître
Aller sournoisement disparaître.
J’observais la scène sans parler,
Sur ma joue les larmes ruisselaient,
Au fond de moi, je savais qu’après elle
Je me perdrai dans la solitude éternelle.
Elle était tendre, aimante et sincère,
Elle pardonnait mon caractère sévère,
Elle était inquiète, vivait dans la peur
Et me reprochait souvent ma rigueur.
Elle m’avait lancé un dernier regard,
Elle savait, que je ne suis pas bavard,
J’ai voulu entendre ses derniers vœux,
Elle m’avait surpris en fermant les yeux.
Avec les deux mains j’ai serré ma tête,
En reconnaissant bien ma défaite
Devant l’incapacité de lui donner la vitalité
Pour rester ensemble jusqu’à l’éternité.
Dad Allaoua
Quand j’ai vu ton dernier souffle sortir,
J’ai su, que ta volonté venait de fléchir,
Ton âme rejoindra le royaume des morts,
En acceptant amèrement le dernier sort.
Combien il était cher ce dernier soupir
Qui avait jaillit de toi avant de mourir,
Ta fraîche haleine m’avait insufflé la vie
Dans l’ombre impénétrable de la nuit.
Lorsque je t’avais vu fermé les paupières,
Déjà, les gens préparaient la civière,
J’avais saisi, celle qui m’avait fait naître
Aller sournoisement disparaître.
J’observais la scène sans parler,
Sur ma joue les larmes ruisselaient,
Au fond de moi, je savais qu’après elle
Je me perdrai dans la solitude éternelle.
Elle était tendre, aimante et sincère,
Elle pardonnait mon caractère sévère,
Elle était inquiète, vivait dans la peur
Et me reprochait souvent ma rigueur.
Elle m’avait lancé un dernier regard,
Elle savait, que je ne suis pas bavard,
J’ai voulu entendre ses derniers vœux,
Elle m’avait surpris en fermant les yeux.
Avec les deux mains j’ai serré ma tête,
En reconnaissant bien ma défaite
Devant l’incapacité de lui donner la vitalité
Pour rester ensemble jusqu’à l’éternité.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3651
Date d'inscription : 30/03/2010
Sujets similaires
» L’âme, ô Adorable, trouve en toi l’asile
» Adieu donc, moments pénibles
» Adieu ! Femme habillée en noir
» Adorable ! J’ai pris la main tendue
» Les douleurs d’une mère
» Adieu donc, moments pénibles
» Adieu ! Femme habillée en noir
» Adorable ! J’ai pris la main tendue
» Les douleurs d’une mère
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum